"La Sardane : De la danse populaire au folklore... en silence ?"

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22 juin 2025

Le compromis de la Saint-Jean : Martine fait un pas de côté (et peut-être un pas en avant)

Voilà une nouvelle digne d’être marquée d’une pierre blanche (ou d’un castagnet joyeux) : le 21 juin, en pleine Fête de la Musique, Martine Rumeau aurait signé un compromis avec la Fédération Sardaniste du Roussillon. Un compromis, donc : ce mot magique qui dit tout et rien, surtout quand il est encore "en cours de vérification" par les membres du Conseil d'administration. Car avant d’être acté, ce compromis doit être relu, relustré, désinfecté et sans doute amendé à la loupe, tant les précédents "accords" s'étaient révélés aussi fiables qu’un parapluie en raphia.

Mais soyons positifs : un inventaire a été récupéré. Pas les biens eux-mêmes, non. Juste la liste des objets volés. C’est déjà ça : les cambrioleurs du dimanche ont au moins laissé la facture. Il ne reste plus maintenant qu’à mettre la main sur les objets eux-mêmes, ce qui, dans cette affaire, relève presque de la chasse au trésor catalan.

Et ce n’est pas fini ! La saga continue le 1er juillet, où une nouvelle scène devrait se jouer : celle de la restitution (peut-être) des fonds détournés, lesquels auraient transité — rappelons-le — par un huissier de justice au rôle toujours aussi nébuleux. Un huissier qui semble avoir confondu "tiers de confiance" avec "tiers flou à la discrétion sélective".

Si cette restitution n'a pas lieu, il semblerait qu’une plainte "en direct" soit enfin déposée auprès du Procureur de la République. Oui, directement, sans passer par la case gendarmerie ni par Martine. Une démarche qui sent bon la justice sans détour. On applaudit.

⚖️ Conclusion : une sardane judiciaire en plusieurs temps

Tout cela nous donne une impression de "danse judiciaire" en plusieurs figures :

  1. Coup de tambour : disparition du matériel

  2. Pas chassé : compromission en coulisses

  3. Reprise du rythme : compromis signé, inventaire retrouvé, mais toujours pas d’objets à l’horizon

  4. Finale (provisoire ?) : retour espéré des fonds, peut-être avec feu d’artifice au parquet

La moralité ? Même dans une sardane, on finit toujours par revenir au point de départ. Encore faut-il le faire en cadence, sans marcher sur les pieds… ni sur la loi.

20 juin 2025

Enfin des nouvelles fraiches, elles seront bientôt rendues publiques:

1. Nouvelles informations judiciaires
Nous avons enfin des nouvelles de Martine Rumeau et de son équipe. À la mi-mai, une plainte aurait été déposée à la gendarmerie d'Argelès-sur-Mer pour des faits très graves : vol, détournement de fonds, faux en documents administratifs... et la liste n'est probablement pas exhaustive.
Une perquisition aurait été effectuée au domicile de Madame Rumeau, lors de laquelle tout le matériel de la Fédération Sardaniste du Roussillon (FSR), mystérieusement disparu, aurait été miraculeusement retrouvé. Une sacrée partie de cache-cache !

2. Ultimatum judiciaire
Martine Rumeau et son équipe auraient jusqu'au 15 juin pour : Restituer l'ensemble du matériel à son lieu d'origine (et non le "mettre à disposition" comme elle l’aurait suggéré).
Restituer les sommes détournées, lesquelles auraient été déposées chez un huissier aux pratiques... intrigantes.
Couvrir les frais d'avocats et autres dépenses générées par cette situation déplorable.

3. Intervention et suspension de l'enquête ?
Une innovation procédurale...
Selon plusieurs échos persistants (et non démentis à ce jour), Martine Rumeau se serait présentée à la gendarmerie d’Argelès-sur-Mer pour demander, d’un ton sans doute assuré, que l’enquête en cours à son sujet soit… suspendue. Motif invoqué : « l’affaire serait désormais entre les mains des avocats ». Il nous a été rapporté que cette demande aurait été, disons-le gentiment, reçue avec une attention surprenante. La gendarmerie aurait alors considéré, toujours selon nos sources, qu’il était opportun de geler les investigations. Comme ça, hop.
Cela soulève une question qu’on oserait qualifier de fondamentale :→ Depuis quand une enquête judiciaire peut-elle être mise en pause comme une série Netflix, à la demande de la personne visée, sans même que le Procureur de la République en soit à l’origine ?
En tant qu’ancien officier de police judiciaire, ayant dirigé une équipe spécialisée et instruit des centaines d’affaires, je dois l’avouer : je découvre là une toute nouvelle branche du droit procédural, peut-être le droit procédural "Rumeau", encore méconnu des facultés de droit mais qui mériterait sa chaire. Jamais — ô grand jamais ! — je n’ai vu un dossier mis en veille simplement parce que le suspect a sorti la carte magique : “J’ai un avocat”.
Et puis cette perquisition, parlons-en. Si elle a eu lieu, c’est nécessairement dans le cadre d’une enquête préliminaire, donc avec l’accord préalable de la personne visée. Une perquisition sur invitation, en somme. On imagine la scène : "Bienvenue chez moi, suivez le guide. Les preuves sont dans la buanderie."
Nous avons là une situation inédite où la procédure pénale semble avoir été… disons, dansée à la mode sardaniste, en ronds et en contournements.

4. Actions à envisager
Face à ces éléments troublants et cette justice à géométrie variable, il semble urgent d’écrire au Procureur de la République de Perpignan pour obtenir des éclaircissements sur la procédure en cours et les décisions prises.
Il est impératif que Madame Rumeau restitue le matériel à son lieu de provenance, pas dans un "coin à disposition" où elle l’aurait oublié par inadvertance. Elle a su le faire disparaître avec une certaine efficacité, elle devrait être tout aussi compétente pour le rendre.
Et que dire des fonds de l'association : ils doivent être réintégrés sans condition, augmentés des frais occasionnés par cette farce judiciaire.

5. Conclusion ironique mais ferme
Une fois tout ceci accompli, peut-être serait-il opportun de demander des excuses publiques à Madame Rumeau et ses comparses, histoire de clore ce chapitre rocambolesque avec un minimum de dignité et de respect pour les adhérents de la FSR.

Car en fin de compte, si la sardane est une danse de cercle, la justice ne saurait tourner en rond.

25 mars

Ou en est on ?

Un mois déjà depuis l'assemblée générale de la Fédération Sardaniste du Roussillon, et toujours aucune nouvelle ! Les promesses de transparence et d'action semblent s'être évaporées aussi vite que le matériel disparu. Pas un mot sur les mesures prises pour récupérer les ordinateurs, archives, et imprimantes envolés. Quant au compte de la Fédération, toujours aux abonnés absents, perdu dans les méandres d'un huissier aux pratiques douteuses. On pourrait presque entendre les grillons chanter dans le silence assourdissant de cette communication fantôme. Alors, chers danseurs, continuez à tourner en rond, car pour l'instant, c'est la seule chose qui avance !

Ce texte est encore et toujours une œuvre de fiction humoristique. Toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes serait purement fortuite.

27 Février :

Procès-Verbal de l'Assemblée Générale : La Sardane des Excuses

Le procès-verbal est enfin là ! Des pages d'explications pour une année "horibilis", mais pas un mot sur la récupération de l'argent et du matériel disparus sous l'ère Martine. On dirait que la sardane continue, mais cette fois, c'est un tango avec l'incertitude. Alors, gardez le sourire et continuez à danser !


Ce texte est, encore une fois, une œuvre de fiction humoristique. Toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes serait purement fortuite.

Ah, la Fédération Sardaniste du Roussillon ! Un nom qui évoque la danse, la tradition, et... le chaos administratif. Après plus d'un an sous la houlette de Martine et son équipe, on peut dire que la sardane a pris des allures de tango argentin, avec ses pas en avant, en arrière, et ses pirouettes inattendues.

Imaginez un peu : des faux plus vrais que nature, du matériel qui prend la poudre d'escampette, et de l'argent qui disparaît comme par magie. Mais attention, pas n'importe quelle magie ! Non, non, cet argent aurait été "protégé" chez un huissier, car apparemment, il était en danger. On se croirait dans un épisode de "Mission Impossible", version catalane.

Mais rassurez-vous, chers amateurs de sardane, un nouveau bureau a vu le jour ! Oui, oui, vous avez bien lu. Un nouveau bureau... quelque part. Parce que, voyez-vous, l'adresse est aussi mystérieuse que le sourire de la Joconde. Quant aux moyens de communication, disons qu'ils sont... minimalistes. Un email, peut-être, si vous avez de la chance. Et le téléphone ? Ah, le téléphone ! Comme le disait si bien Henry Kissinger à propos de l'Europe : "L'Europe... oui, mais à quel numéro de téléphone ?" Eh bien, pour notre Fédération, c'est un peu la même chanson.

Alors, si vous cherchez à joindre la Fédération Sardaniste du Roussillon, armez-vous de patience, d'un bon GPS, et peut-être d'un détective privé. Et qui sait, peut-être que la sardane retrouvera bientôt son rythme joyeux et entraînant, sans faux pas ni disparitions mystérieuses. En attendant, gardez le sourire et... continuez à danser !


Ce texte est une œuvre de fiction humoristique. Toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes serait purement fortuite.